Vos poèmes

Pour vos créations poétiques, graphiques et artistiques de manière générale.
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Mervis
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Re: Vos poèmes

Message par Mervis »

Mervis a écrit : 24 mai 2024 12:03 Très bien. Quoique je ne l'aie employé, que dans le sens modernisé que je lui ai conféré dans le topic idoine, et qui vise le victimisme.
Là. Enfin je comprends tout à fait votre réaction. Elle est nécessaire.
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Mervis
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Re: Vos poèmes

Message par Mervis »

Lamentation de Guþwulþus

Sous les cieux ombragés, un héros, Guþwulþus, marche.
Dans l'ombre il œuvre à la gloire de Miþwodans dit le Sage.
Loyal et noble, il portait l'espérance des Anciens,
Travaillant sans répit, sous l'œil du destin incertain.

Miþwodans, l'allié aux paroles enchanteresses,
Guidait son ami avec des promesses de liesse.
Ensemble ils forgeaient des rêves de triomphe et de paix,
Mais dans le cœur du dit Sage, sombre trahison naissait.

Lors du grand þing, sous les auspices des étoiles,
Miþwodans parla. Ses mots ? des lames fatales !
Il calomnia Guþwulþus, semant le doute et la honte,
Brisant le cœur de celui qui, pour lui, brava bien des mondes.

Guþwulþus, noble âme, ressentit l'amertume
De la trahison de l'ami, une brûleur posthume.
Alors, dans l'ombre, il renversa son œuvre secrète,
Pour la perte de l'allié, sa loyauté incomplète.

Le vent chantait les douleurs du valeureux guerrier,
Guþwulþus, trahi et mortel, portait le brasier.
Ses actions manigantes, dans l'ombre éclipsées,
Fusèrent contre Miþwodans, malgré son nom effacé.

Ô Miþwodans, que les cieux te jugent pour tes mots !
Pour la trahison d'un frère, tu as forgé mille maux.
Guþwulþus, malgré tout, resta un héros dévoué,
Travaillant pour la gloire de l'ombre, sous les cieux étoilés.
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Mervis
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Re: Vos poèmes

Message par Mervis »

Salutations !
Aestarion, pour la Futaie de Frodi, a écrit : Trouvés à la rivière au clair d'un bon matin,
Pleurant notre mère, de ces contrées absente,
Ramassés et choyés par le bon fils d'Odin,
Nous arrivons inquiets, fatigués, dans l'attente

De trouver la chaleur, le confort d'un foyer,
L'amour et l'attention d'un esprit maternel
Qui saura, tendrement, guider et protéger
Nos cœurs, dans un monde qui sait être cruel

Nous fuirions bien vite d'une vile maison, Âmes délicates aux pelages soyeux.
Mais nous te conduirons à travers les cieux

Par-delà montagnes et mers étincelantes
Et serons, si tu es une maîtresse aimante,
À jamais tes chers et fidèles compagnons.
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